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Aucune intention de relancer une polémique désormais en impasse au sujet de l’affaire « de la librairie Vauban » aussi célèbre que celle « des poisons » précisément de l’époque de Vauban. Laissons donc L’Avoine s’agiter la tige au milieu de son champ. Lorsque la saga désormais distillée en épisodes, gage de recettes publicitaires, aura, si tel était le cas un jour, atteint son épilogue il sera alors grand temps de le commenter.

L’objet de la présente communication concerne un commentaire sur la page de L’Avoine de M. Beaussart revêtant avec jouissance le costume de juge d’instruction qui nous pose la question comminatoire : « Reconnaissez-vous les faits ? »

Pitié M. le Juge ! Épargnez-nous !

Arrivée du troisième statut du Bribeux. Après organe officiel et avocat de la mairie, le voici promu complice, si ce n’est acteur même instigateur du délit de naïveté.

Revoilà donc Super-Beaussart vêtu de sa cape rose immaculée volant au secours de la veuve et de l’orpheline, pourfendant sans merci les turpitudes de la mairie et une nouvelle fois le dévoiement de l’argent public. Désopilant quand au-dessus de l’actualité politico-juridique de notre ville vient s’empiler l’étranglement financier de l’agglo provoqué par ses anciens collègues et toujours amis politiques.

Sans doute une manœuvre de diversion d’arrière-garde afin de se refaire une virginité politique et de se mettre L’Avoine de son côté (confirmé par les commentaires de soutien céréalier sur toutes les publications consacrées à « l'affaire »).

Le Bribeux

Ce pachyderme avant même son arrivée à Maubeuge aura beaucoup fait parler.

Pour la majorité des Maubeugeois sa future installation en face du zoo ne provoque souvent que l'indifférence.

Certains se montrent beaucoup plus sceptiques même franchement ironiques.

Mais la réaction qui mérite largement d’être marquée sur Le Bribeux provient d’un membre éminent de l’ancienne majorité municipale. Outre le fait que celui-ci considère comme un fait inéluctable et acquis que personne ne veuille de ce symbole de la commémoration nordiste du bicentenaire de la révolution française, pourtant initié par ses amis politiques en 1988, il en appelle « aux 35 % des foyers fiscaux maubeugeois » sur l’inutilité de la dépense.

Oubliés les centaines de milliers d’euros, pour ne pas parler de millions qui ont été dépensé lors de la précédente mandature pour la phase d’étude du projet d’extension du zoo dont peu de Maubeugeois voulaient réellement, le parking silo de la gare désespérément vide, les études du complexe Eurasambre, la gestion dispendieuse des places de parking qui n’intéresse personne, etc.… Cette dernière prise de conscience permet enfin d’espérer pour nos concitoyens que celui qui se voit dans le fauteuil majoral en 2020, contrairement à son mentor a enfin pris conscience de la valeur des deniers publics.

Le Bribeux

Le fait est assez rare pour qu’il mérite d’être souligné : un élu qui critique ouvertement le compte rendu d’une actualité politique locale. Au sujet de la piscine Pasteur, M. Jean-Pierre Coulon, premier adjoint au maire a dénoncé le traitement partiel (sous-entendu partial) qui avait été fait des débats et du vote des conseils communautaires de l’agglo par la Voix du Nord.

Nul doute que cela va encore ouvrir une polémique au sujet de l’indépendance de ce quotidien régional. Toujours du côté des élus pour certains, toujours dans l’opposition systématique pour d’autres. Même si dans l’affaire de la piscine Pasteur, depuis le début la vision de la VDN a pu paraître sujette à caution, rien n’est réellement probant dans le choix d’un camp.

Ceci dit en toute indépendance d’esprit, même si vis-à-vis du Bribeux la rédaction a fait le choix identique que certains de ses plus farouches détracteurs.

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Une rumeur court de façon persistante sur le net. Arnaud Decagny s’apprêterait à s’envoler vers les Caraïbes pour les vacances qui commencent ce soir. Sans doute accompagné d’autres élus et d’anciens colistiers.

Le maire comme tout le monde a droit de prendre des vacances. Mais être absent pour le 1^er mai, le concours hippique et la commémoration du 8 mai (70ème anniversaire) si ce n’est une faute politique, est quand même une faute de communication vis-à-vis des Maubeugeois.

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S’agissant de politique purement politicienne le Bribeux n’est intervenu à aucun moment dans le débat des élections départementales. La seule exception ayant été la semaine dernière un simple constat que son analyse préalable avait été prise en défaut et qu’il y avait quelque chose de surréaliste de penser que M. Decagny serait élu avec les voix socialistes. Tout au moins, une partie de celles-ci. Des militants ont clairement annoncé leur intention de ne pas voter pour les candidats UPN. Si certains ont eu le mérite d’être francs, y compris dans une certaine trivialité d’expression, d’autres ont utilisé une dialectique pour le moins affûtée pour justifier leur choix. Tel ce subtil distinguo entre abstention et vote blanc. Mais la palme de la justification revient sans conteste à M. Beaussart avec ce commentaire :

Il y a donc eu des accords entre M. Decagny et M. de Béjarry en mars 2014 ? Notre curiosité ne saurait se contenter de cette simple assertion. De quel marché s’agissait-il ? Nous brûlons de le savoir…

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